Témoignage de John Baker

Témoignage de John Baker

Je m’appelle John Baker et je suis un croyant qui lutte contre l’alcoolisme.

En 2001, exercé à la relation d’aide, je suis devenu le pasteur du programme Une Vie Renouvelée. Auparavant, en 1992, j’avais rejoint l’équipe de l’église Saddleback comme responsable des petits groupes et des groupes de guérison.

Au fil des ans, j’ai découvert que Dieu s’intéresse en premier lieu à mon caractère, à mes valeurs.

Pour me présenter, j’aimerais vous donner mon témoignage en vous racontant mes expériences personnelles sur ce chemin de guérison. Bien que mon expérience s’inscrit dans une culture qui n’est peut-être pas la vôtre, je crois que l’action de Dieu dans ma vie et jusque dans la guérison de mes blessures dépasse les frontières.

Être meilleur en tout, ma devise…

J’ai été élevé dans une famille chrétienne dans le Midwest, à Collinsville (Illinois, USA), une ville de 10’000 habitants. J’ai vécu une enfance que l’on qualifierait d’ordinaire, si l’on peut dire. Mes parents étaient membres d’une petite église Baptiste dirigée par un très jeune pasteur, un certain Gordon MacDonald. J’ai invité Christ dans ma vie à l’âge de treize ans. Au lycée, j’étais délégué de classe et je me suis fait un nom en basket-ball, en base-ball et en athlétisme. Je me suis senti appelé au ministère à l’âge de seize ans et me suis inscrit dans plusieurs universités chrétiennes. Jusque-là, tout semble normal, presque ennuyeux.

Mais j’avais un problème: je devais être le meilleur en tout. Au fond de moi, je ne me sentais jamais assez bon pour mes parents, mes coéquipiers, mes petites amies, ou quiconque. Si je n’étais pas assez bon pour eux, je me demandais comment arriver à être assez bon pour Dieu. J’ai dû manquer les sermons du dimanche qui parlaient de la grâce de Dieu et de l’amour inconditionnel de Jésus et de sa grâce imméritée. J’étais un paradoxe ambulant et parlant, une combinaison de l’estime de soi la plus basse et de l’ego le plus grand au monde. Croyez-moi, ce n’est pas un sentiment très agréable. La meilleure façon de décrire ce sentiment, c’est un vide brûlant, un trou, en plein dans le ventre.

Ma blessure intérieure et mon réconfort dans l’alcool

Je luttais contre l’appel de Dieu et me trouvais indigne d’entrer dans le ministère. Après le lycée, j’ai donc choisi l’université du Missouri. En faisant mes valises, j’ai emporté avec moi mon estime de soi inexistante. J’ai rejoint une confrérie universitaire et j’ai vite découvert la solution à ma douleur, ou plutôt ce que je pensais être la solution: l’alcool. Ça marchait! Ça me convenait! Pour la première fois de ma vie, j’avais un sentiment d’appartenance.

Alors que je fréquentais l’université des sciences économiques (et que j’y faisais aussi beaucoup la fête), j’ai rencontré ma femme, Cheryl. Nous nous sommes mariés lors de ma dernière année d’études. Comme nous étions en pleine guerre du Vietnam, nous savions que j’allais être appelé à servir sous les drapeaux. Mais Cheryl n’avait aucune idée de ce que les 19 prochaines années lui réservaient.

En 1970, j’ai obtenu mon diplôme et me suis engagé dans l’armée de l’air comme pilote. J’ai suivi l’école d’instruction des officiers et, en 90 jours, j’ai appris à me comporter comme un officier et à boire comme un gentleman. Je continuais d’abuser de la bouteille. Il me semblait que l’alcool apaisait ma douleur. Pour moi, ce n’était en tout cas pas un péché!

Durant le service, j’ai rapidement trouvé la bonne utilisation de l’oxygène pur, un remède contre la gueule de bois! Le service est l’endroit rêvé pour découvrir ses talents. J’ai bien vite été nommé officier responsable des fêtes de l’escadron. Parfait! Un travail qui demandait beaucoup d’heures de préparation au bar du club des officiers. À la fin de la guerre, on m’a affecté à une unité de réserve.

Après l’armée, j’ai travaillé pour la Scott Paper Company. J’ai reçu mon MBA en suivant des cours du soir et Dieu nous a donné notre premier enfant, Laura. Deux ans plus tard, un fils a suivi, John Jr.

J’ai obtenu 8 fois de l’avancement durant les 11 premières années de ma carrière. J’étais devenu le vice-président du secteur ventes et marketing de deux grandes entreprises de l’agroalimentaire. À peine âgé de 30 ans, j’avais atteint tous les objectifs de ma vie professionnelle et tous mes objectifs financiers!

Ces succès professionnels ont cependant engendré de nombreux déménagements. Le fait de déménager tous les deux ans ne nous permettait pas d’être engagés dans une vie d’église. Mais comme je continuais de boire, l’église a perdu de son importance. Je savais que si je mourais, j’étais sauvé, mais mon christianisme ne se reflétait ni dans mon style de vie, ni dans mes activités professionnelles, ni dans mes priorités.

Je pensais que pour un simple observateur, ma vie était normale

Et pourtant, je pensais que pour un simple observateur ma vie paraissait normale. Au fil du temps, j’ai eu des responsabilités dans les clubs Awana qui offrent un programme biblique et amusant aux enfants. Je n’avais pas de remords à quitter mon travail plus tôt pour m’arrêter dans un bar avant la réunion du mercredi soir afin de pouvoir me détendre et mieux comprendre les gamins. Tout le monde n’en faisait-il pas de même? Pendant 5 ans, j’ai été l’entraîneur l’équipe de base-ball de mon fils, mais après chaque match, je m’arrêtais à la pizzeria avec mon adjoint pour y boire quelques chopes de bière. Ben voyons, tout le monde n’en faisait-il pas autant? Quelle folie!

Petit à petit, je me suis senti mal à l’aise avec le style de vie que je menais. J’étais confronté à une décision majeure. J’avais le choix: n’en faire qu’à ma tête, continuer de boire ou chercher la voie de Dieu pour ma vie.

J’aimerais vraiment pouvoir dire que j’ai vu la lumière et que j’ai suivi la voie de Dieu, mais en vérité, j’ai continué à suivre ma manière de vivre. Je me suis mis à boire encore plus et j’ai tourné le dos à Dieu. Dans Proverbes 14.12, il est dit: «La voie qui paraît droite à un homme peut finalement conduire à la mort.»

Je me trouvais sur cette voie. J’étais en quelque sorte un alcoolique en état de marche. Je n’ai jamais perdu mon travail et on ne m’a jamais arrêté pour conduite en état d’ivresse. Les seules choses que j’ai perdues à cause de ma dépendance à l’alcool étaient ma relation étroite avec Dieu et ma famille.

Cheryl et moi, nous nous sommes séparés après dix-neuf ans de mariage. J’ai perdu toute envie de vivre. Ce que je considérais comme la solution à nos problèmes, l’alcool, est devenu le problème!

Ma vie était devenue incontrôlable. J’avais créé mon propre enfer sur terre! Un matin d’octobre, alors que j’étais en voyage d’affaires à Salt Lake City, je me suis réveillé en sachant que je ne pourrais plus boire un verre de plus. Mais je savais aussi que je ne pouvais plus vivre sans un verre de plus! J’avais finalement atteint le fond. J’étais en train de mourir physiquement, émotionnellement, mentalement et, encore plus important, spirituellement. Sans le savoir, j’en étais à l’étape 1 des Alcooliques Anonymes.

Mon chemin de guérison à travers le programme des Alcooliques Anonymes

Une fois de retour à la maison, je suis allé à ma première rencontre des AA. Mais ce n’était que le début. Je me suis rendu à plus de 90 réunions en 90 jours.

Avec le temps, je me suis senti prêt pour l’étape 2.

Étape 2 - Nous en sommes venus à croire qu’une Puissance Supérieure à nous-mêmes pouvait nous rendre la raison.

En effet, c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire pour son projet bienveillant. Philippiens 2.13

Et donc au principe 2 - Croire sincèrement que Dieu existe, que je compte pour lui et qu’il a le pouvoir de m’aider à guérir.

Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés! Matthieu 5.4

Enfin une lueur d’espoir! Je réalisai que Dieu m’aimait inconditionnellement. Un verset de la Bible pris dans Romains 11.36 me revenait en mémoire et pour la première fois j’en saisissais tout son sens : «C’est de lui, par lui et pour lui que sont toutes choses. À lui la gloire dans tous les siècles! Amen!»

Aujourd’hui, ma vie en Christ m’offre un espoir infini; ma vie sans lui était une fin sans espoir! Ma propre volonté m’a laissé vide et brisé, j’ai donc changé ma définition de la volonté. Maintenant je sais que la véritable volonté, c’est la volonté d’accepter que la puissance de Dieu puisse agir dans ma vie.

Ceci m’a mené à l’étape 3.

Étape 3 - Nous avons décidé de soumettre notre volonté et notre vie aux soins de Dieu.

« Je vous encourage donc, frères et sœurs, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu. Ce sera de votre part un culte raisonnable.» (Romains 12.1)

Et au principe 3 - Choisir consciemment de soumettre ma vie et ma volonté à Christ et de lui en laisser le contrôle.

«Heureux ceux qui sont doux.» (Matthieu 5.5)

En appliquant les trois premières étapes, j’ai dit: «Je ne peux rien, mais tout est possible à Dieu», et j’ai décidé de le laisser faire. Un jour après l’autre. J’avais réalisé qu’en marchant sans véritable connexion à Dieu, j’avais avancé dans le chaos!

Je pensais que ces trois premières étapes étaient difficiles, mais c’est alors que je suis arrivé à l’étape 4 et 5.

Étape 4 - Nous avons procédé sans crainte à un inventaire moral, approfondi de nous-mêmes.

«Réfléchissons à nos voies, examinons-les et retournons à l’Éternel.» (Lamentations 3.40)

Étape 5 - Nous avons avoué à Dieu, à nous-mêmes et à un autre être humain la nature exacte de nos torts.

«Avouez-vous donc vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin d’être guéris.» (Jacques 5.16)

Et au principe 4 - Reconnaître mes torts et les confesser ouvertement à Dieu et à quelqu’un de confiance.

«Heureux ceux qui ont le cœur pur.» (Matthieu 5.8)

Confronté à mes blessures, blocages et mon état de dépendance

À ce moment-là, j’ai dû revenir sur le passé, aller à la rencontre du jeune John Baker. J’ai dû confronter les blessures, les blocages et les dépendances que j’avais essayés de noyer dans l’alcool, ainsi que la perte de mon jeune frère. J’ai dû accepter ma part de responsabilité pour tous les dégâts causés par mon alcoolisme chez tous ceux qui m’étaient chers jadis. Après m’être confessé, j’ai pu sortir des ténèbres de mes secrets et découvrir la merveilleuse lumière du Père! en affrontant la vérité, en acceptant le pardon et la guérison de Jésus. Je remercie Dieu de m’avoir donné un confident. Ce dernier m’a aidé à garder l’équilibre, et ne m’a pas jugé en écoutant le bilan de ma vie.

Lâcher prise et laisser Dieu agir

Le principe 5 qui découle des étapes  et 7, m’a fait réaliser qu’il était temps de «laisser Dieu agir». Et quel soulagement de s’en remettre à lui! Je me connaissais suffisamment pour savoir que j’étais incapable de changer ma vie de moi-même.

Étape 6 - Nous étions tout à fait prêts à ce que Dieu élimine tous ces défauts.

«Humiliez-vous devant le Seigneur et il vous élèvera.» (Jacques 4.10)

Étape 7 - Nous lui avons humblement demandé de faire disparaître nos défauts.

«Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal.» (1 Jean 1.9)

Principe 5 - Me soumettre volontairement à tout changement que Dieu veut opérer dans ma vie et lui demander humblement d’éliminer les défauts de mon caractère.

«Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice.» (Matthieu 5.6)

Pour ma part, réussir le principe 5 était synonyme de trois choses:

  1. j’ai laissé Dieu transformer mon esprit: sa nature, sa condition, son identité;
  2. (2) j’ai appris à me réjouir des progrès réguliers: une amélioration progressive qui permettait aux autres d’identifier en moi les changements que je n’arrivais pas voir;
  3. (3) Dieu a reconstruit mon estime personnelle. Je me suis basé sur son amour à mon égard au lieu de me baser sur les standards du monde qui m’environne.

Pendant ce cheminement, Dieu m’a donné sa définition de l’humilité: «Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.» (2 Corinthiens 12.9)

Alors, j’ai pu dire avec l’apôtre Paul: «Je me montrerai bien plus volontiers fier de mes faiblesses,… car quand je suis faible, c’est alors que je suis fort.» (versets 9 et 10).

Le pardon à vivre et un nouveau départ

J’étais maintenant prêt à m’attaquer aux étapes 8 et 9 et du coup au principe 6, mon préféré:

Principe 6 - Évaluer toutes mes relations. Offrir le pardon à ceux qui m’ont blessé et réparer les torts que j’ai causés aux autres, sauf quand cela pourrait leur faire du mal à eux ou à autrui.

«Heureux ceux qui font preuve de bonté.» (Matthieu 5.7)

«Heureux ceux qui procurent la paix.» (Matthieu 5.9)

Étape 8 - Nous avons dressé une liste de toutes les personnes que nous avions lésées et nous avons consenti à réparer nos torts envers chacune d’elles.

«Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous aussi de même pour eux.» (Luc 6.31)

Étape 9 - Nous avons réparé nos torts directement envers ces personnes dans la mesure du possible, sauf lorsqu’en ce faisant, nous risquions de leur nuire ou de nuire à d’autres.

«Si donc tu présentes ton offrande vers l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel et va d’abord te réconcilier avec ton frère, puis viens présenter ton offrande.» (Matthieu 5.23-24)

J’ai dit qu’il s’agit là de mon principe préféré, mais pas du plus facile! J’avais une liste bien longue de personnes auxquelles demander pardon. Cela allait de mes anciens employeurs et employés à des amis et des voisins. Mais ma demande de pardon la plus spéciale s’adressait à ma famille, en particulier à mon épouse, Cheryl. Nous étions toujours séparés. Je lui ai dit qu’elle n’était pas responsable de ma consommation d’alcool, que je regrettais sincèrement toute la souffrance que je lui avais causée, que je l’aimais toujours et que si je pouvais faire quoi que ce soit pour elle, il lui suffisait de demander.

Cheryl avait remarqué les transformations que Dieu effectuait dans ma vie. Ces transformations s’opéraient alors que je suivais avec zèle le programme. (Cela commençait à devenir vraiment intéressant!) Elle et les enfants fréquentaient depuis peu l’église Saddleback qui se réunissait dans un gymnase. Un samedi soir, alors que je visitais les enfants, ces derniers m’ont demandé de me joindre à eux le dimanche matin. À leur grande surprise, j’ai dit «oui»! Cela faisait 5 ans que je n’avais pas assisté à un culte, mais lorsque j’ai entendu la musique et le message du pasteur Rick Warren, je savais que j’étais chez moi. Cheryl et moi-même avons fait face à nos problèmes en toute honnêteté et, 5 mois plus tard, Dieu a ouvert nos cœurs et nous avons renouvelé nos vœux de mariage. N’avons-nous pas un Dieu formidable!

La famille s’est même fait baptisée ensemble!. Nous avons progressé dans notre relation à Dieu mais aussi dans notre engagement envers lui et dans l’église.J’ai fini par être formé au ministère et ai enfin commencé à répondre à l’appel qui était le mien depuis des années.

Dans cette église où nous avons cheminé, j’ai trouvé l’un de mes versets préférés:

«Vous, au contraire, vous êtes un peuple choisi, des prêtres royaux, une nation sainte, un peuple racheté afin de proclamer les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière. Vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, vous êtes maintenant le peuple de Dieu; vous qui n’aviez pas obtenu compassion, vous avez maintenant obtenu compassion.» (1 Pierre 2.9-10)

Comme dit le pasteur Rick Warren: «Dieu ne méprise aucune blessure.» Toutes les souffrances et les peines liées à ma dépendance prenaient enfin un sens!

Cependant, aux rencontres des AA, mes amis se sont moqués de moi lorsque je leur ai dit que ma Puissance était Jésus-Christ. À l’église, je n’arrivais pas à trouver un petit groupe où les membres osaient aborder le thème de de dépendance à l’alcool. Je savais que d’autres personnes devaient forcément se trouver dans la même situation que moi. En effet, dans une église de la taille de Saddleback, je ne pouvais pas être le seul à lutter contre des blessures, des blocages et des dépendances.

L’envie d’aider les autres en souffrance comme moi est née. J’ai lancé le programme Une Vie Renouvelée.

J’ai donc envoyé une lettre de 13 pages au pasteur Rick Warren pour lui partager la vision que Dieu m’avait donnée: la vision d’ « Une Vie Renouvelée »; un programme de guérison centré sur Jésus-Christ.

Le pasteur m’a ensuite convoqué dans son bureau et m’a dit: «Super, John, fais-le!»

Et j’ai enfin pu répondre à l’appel de Dieu. J’ai fait des études de théologie et me suis engagé à servir Dieu là où il m’enverrait et en son temps.

Je compte travailler les deux derniers principes chaque jour de la vie qui me reste sur cette terre.

Principe 7 - Réserver chaque jour un temps avec Dieu pour un examen de conscience, lire la Bible et prier afin de mieux connaître Dieu et sa volonté pour ma vie et pour recevoir les forces de faire sa volonté.

Principe 8 - Me soumettre à Dieu pour qu’il puisse m’utiliser pour apporter cette Bonne Nouvelle à d’autres, tant par mon exemple que par mes paroles.

«Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux leur appartient!» (Matthieu 5.10)

Étape 10 - Nous avons poursuivi notre inventaire personnel et promptement admis nos torts dès que nous nous en sommes aperçus.

«Ainsi donc, que celui qui croit être debout fasse attention à ne pas tomber!»

(1 Corinthiens 10.12)

Étape 11 - Nous avons cherché par la prière et la méditation à améliorer notre contact conscient avec Dieu, lui demandant seulement de connaître sa volonté à notre égard et de nous donner la force de l’exécuter.

«Que la parole de Christ habite en vous dans toute sa richesse!» (Colossiens 3.16)

Étape 12 - Ayant connu un réveil spirituel résultat de ces étapes, nous avons alors essayé de transmettre ce message à d’autres et de mettre en pratique ces principes dans tous les domaines de notre vie.

«Frères et sœurs, si un homme vient à être surpris en faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le dans un esprit de douceur. Veille sur toi-même, de peur que toi aussi, tu ne sois tenté. (Galates 6.1)

Dieu m’a richement béni et je me réjouis de pouvoir vous faire profiter de ces bénédictions. Je prie que les participants à ce programme aient la possibilité d’aborder ensemble et en toute sécurité les problèmes liés à leurs blessures, leurs blocages et leurs dépendances. C’est un programme où l’amour de Christ, sa vérité, sa grâce et son pardon se manifestent en toutes choses.